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lundi 26 mars 2018

Comment Arman de Terrace House m'a permis de faire un drop-in en skate

Salut, je m'appelle Éric et j'ai repris le skate durant l'été 2017. J'en ai fait trois ans quand j'étais adolescent. J'avais un peu oublié mon niveau en m'y remettant. Je me suis vite rendu compte que j'étais flingué. C'est pas grave, ça me fait une plus grande marge de progression ! Donc, j'ai réappris ce que je savais faire et commencé à réfléchir à des pistes d'apprentissage. D'ailleurs, pour voir mes progrès, vous pouvez suivre ma chaîne YouTube dédiée à ça.



Rapidement, je me suis rendu compte que, à l'époque, je n'avais jamais vraiment tâté des skateparks. J'ai surtout évolué dans la rue. Du coup, je suis littéralement parti de zéro pour appréhender les modules qui se trouvent dans les skateparks où je vais.

L'un des trucs que j'ai vite compris c'est que ça serait bien d'apprendre à faire un drop-in. C'est une « figure » indispensable pour prendre de la vitesse dans un skatepark. C'est aussi indispensable pour évoluer sur une rampe, quelle que soit sa taille.

Illustration de mes propos.


Le principe est simple à comprendre. Un drop-in permet de prendre beaucoup de vitesse sur une distance courte. Donc, je me suis mis en tête que je voulais y arriver assez vite. Problème, là où je skatais, les conditions n'étaient pas réunis pour que je puisse même essayer. Soit il n'y avait aucun module adapté, soit il y avait trop de monde. 

Du coup, j'ai gardé cette histoire de drop-in dans un coin de ma tête tout en continuant à progresser sur mes autres figures. Et puis, je regardais Terrace House, une télé-réalité japonaise diffusée sur Netflix. À un moment, ils se rendent dans un skatepark et la caméra montre à plusieurs reprises Arman se casser la gueule en tentant de faire un drop-in. 

Avant d'aller plus loin, je dois préciser que j'ai regardé tout les tutos pour apprendre à drop-in sur YouTube. Et sur le papier c'est assez simple, il suffit de se pencher en avant et de plaquer ses roues avant sur la courbe. 

DONC, Arman tombe comme ça. 


Je sais pas pourquoi mais j'ai eu un déclic. En gros, un principe SUPER important c'est de garder l'épaule qui est devant plus basse que celle qui est derrière. Ou alors avoir son bras droit plus bas que son bras gauche, c'est pareil. Là, vous pouvez voir que quand il tombe, c'est tout l'inverse. À partir de là, j'ai voulu trouver un skatepark pour enfin essayer à mon tour.

Et puis ce dimanche 25 mars 2018, je me suis rendu à l'EGP 18, le plus gros skatepark de Paris, pour mettre à exécution ce que j'avais cru comprendre et j'ai enfin réussi. Ce n'est pas parfait mais c'est déjà un bon début. REGARDEZ :



Si vous lisez ceci et que vous ne faites pas de skate c'est difficile à comprendre, ça semble simple. Une fois qu'on sait le faire : oui c'est simple. Mais quand on a son skate posé sur le bord c'est vraiment une autre histoire, c'est effrayant. On pense à toutes les façons dont on pourrait se tuer. Mais c'est le principe même du skate : dépasser ses limites. C'est ça que j'aime dans ce sport !

dimanche 18 mars 2018

Avis - brunch vegan chez Cloud's Cake (Paris)

Je le dis d'emblée, le brunch c'est pas mon truc. Déjà, je n'aime pas le mot qui est la contraction de deux termes anglais : breakfast et lunch. Ensuite, le brunch, c'est un repas pour les gens qui se lèvent tard le dimanche. Ce n'est pas mon cas. Le dimanche, je me lève tôt, que ce soit pour faire du vélo ou de la planche à roulettes. Donc le dimanche, je mange trois repas, comme le reste de la semaine.

La première fois que j'ai découvert ce genre de repas c'était à Berlin dans un endroit vegan. J'en parle dans cet article : Manger vegan à Berlin (3 adresses). J'ai pas recommencé depuis pour les raisons évoquées ci-dessus.

Ce matin, j'ai fait une seconde fois entorse à cette règle mais ce n'était pas de mon initiative. Résultat, je me retrouve chez Cloud's Cakes à 11 h 30. Cloud's Cakes est un endroit pour lequel nous avons contribué, avec Gaëlle, via un financement participatif. L'idée est simple : un endroit 100 % vegan pour se restaurer de façon légère.

Tous les dimanches, l'enseigne propose un brunch vegan pour 26 euros. Je ne peux pas vous dire si c'est cher ou pas, déjà parce que le prix ne m'intéresse pas et ensuite parce que je n'ai aucun point de comparaison.



En entrée, à la place des croissants pas disponibles ce matin, on a eu des cinamonn rolls. L'apparence et le goût (c'est à la cannelle) m'ont rappelé les pâtisseries allemandes. C'était bon et une bonne entrée en matière.


Ensuite, rapidement on a reçu le plat de résistance. Pour le mien, j'ai demandé à ne pas avoir de crudités ou de salade. Du coup, ça ressemblait à ça.


C'était vraiment très bon et ça m'a bien bien calé. Je n'avais même plus envie de la suite. Mais de façon intelligente, les pancakes sont arrivés après un certain temps, le temps de retrouver la faim.


J'ai donc réussi à tout finir. À la fin du repas, j'étais plein  et satisfait de mon expérience.

Si vous êtes de passage à Paris et que vous vous levez tard le dimanche matin, je vous encoure à aller chez Cloud's Cake. Pensez à réserver au préalable !



lundi 12 mars 2018

9 conseils pour préparer votre séjour dans les Highlands (Écosse)

Dans cet article, je vais vous raconter notre séjour en Écosse et vous donner 9 conseils pour préparer votre voyage en voiture dans les Highlands. 




Pour ce voyage en Écosse, on arrive en avion vers 16 h à Édimbourg. En quatre stations on est rendus à notre hôtel IBIS situé au centre d’Édimbourg. Ce qui frappe en premier dans la capitale de l’Écosse est l’architecture si particulière. C’est plutôt joli à voir d’ailleurs. L’autre caractéristique de cette ville de 500 000 habitants c’est le dénivelé. Il y a des pentes (et donc des montées) dans tous les sens. On va dire que ça fait travailler les cuisses !

On dépose nos affaires et on se rend compte qu’on a oublié les adaptateurs achetés l’année dernière à Londres. Tant pis, on retourne en prendre un dans un magasin situé juste à côté de l’hôtel. Ensuite, on va manger et dodo pour être en forme pour notre première vraie journée sur place !



Jour 1
L’objectif est de rallier Inverness (un espèce de camp de base des Highlands) mais pas le plus vite possible. On veut pouvoir passer à travers un joli décor. Bien entendu, pour faire cela, nous louons une voiture… automatique. Car on s’est dit que ça serait ça en moins à apprendre, en plus de devoir rouler avec le volant à droite sur la gauche de la route. Résultat, on a dû regarder un tuto sur YouTube et demander à l’employé Sixt de nous montrer comment faire fonctionner la voiture.

C’est Gaëlle qui a pris le volant. Et j’ai lu ici et là que conduire à gauche c’était étrange mais qu’on s’y adaptait vite. C’est vrai, à la fin de la journée, Gaëlle était plutôt à l’aise. Mais par contre, au début c’était chaud. En gros, y’a plusieurs paramètres à prendre en compte. Et au début, elle se concentrait sur la conduite à gauche sans faire attention à ce qu’il y avait à gauche. Par exemple, après 5 minutes de conduite, on a failli se prendre un car garé sur la gauche. Mon sang s’est glacé. Bref, tout ça pour vous dire de faire attention et de prendre votre temps au début.

À la base, on pensait partir en vers le Nord, comme Google Maps l’indiquait. Mais c’était sans compter sur le formidable employé de Sixt qui nous a écrit noir sur blanc un plan précis pour aller jusqu’à Inverness. Et ce plan, faisait partir vers… l’Ouest.

La première étape nous emmène à Stirling, une petite bourgade de 45 000 habitants. On n’avait pas prévu d’aller visiter le château mais Gaëlle ayant envie de faire pipi, on s’est acquittés de 30 livres. Du coup, histoire de ne pas payer ce prix seulement pour aller aux toilettes, on en a profité pour en faire le tour. Bon, n’ayant aucun intérêt pour l’histoire de cet endroit, on s’est contentés de marcher le long des remparts. C’est pas moche mais ça ne vaut pas une entrée à 15 livres par personne.



On reprend la route et là on file vers Glencoe car le temps passe vite et on est déjà l’après-midi. Petit à petit, les Highlands commencent à pointer le bout de leur nez. En gros, les Highlands c’est une région où y’a plein de montagnes. Genre pleins ! Et le gros avantage de cette région c’est que les montagnes sont « accessibles ». Le long de la route il y a des emplacements pour se garer. Cela permet aux gens, genre nous, de poser leur voiture et de s’enfoncer dans les terres, s’ils le souhaitent pour admirer la vue et faire des photos. Gaëlle voulait tout le temps s’arrêter !



Et il faut dire les paysages traversés étaient spectaculaires. Des montagnes énormes à ne plus savoir où donner la tête. La neige sur les sommets ne faisait qu’ajouter à la beauté de la vision à laquelle nous assistions.


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Mine de rien, à force de s’arrêter, l’heure avance et la nuit tombe et on n’est pas encore arrivés à bon port. La fin de la route se fera de nuit sur une espèce de nationale avec une route pourrave et des tournants dans tous les sens.

D’ailleurs une petite astuce si vous n’êtes pas à l’aise sur cette route, restez derrière un camion. Il vous servira de bouclier face aux voitures qui arrivent en face et qui ont tendance à trop aller au centre de la route. Ouais car la chaussée est pas super large.

19h30, arrivée à notre logement à Inverness. On va manger au Black Isle Bar And Rooms, un endroit qui propose de la bouffe végétarienne avec une pizza vegan. Ils insistent aussi sur le côté bio. Genre ils essaient le plus possible de proposer des produits locaux. Par ailleurs, c’est aussi un lieu spécialisé dans la bière. Si vous passez par Inverness et que vous aimez la bière et la pizza, allez-y !

Ensuite, on est allés se coucher !

Jour 2 
Aujourd’hui, l’objectif principal est d’aller sur l’Isle de Skye avec quelques étapes sur le chemin. Pour profiter pleinement de la journée, on part d’Inverness vers 10 h. Il n’y a pas grand monde sur la route. La première bonne surprise est arrivée lorsqu’on s’est trompés de route. On est montés, montés, montés jusqu’à arriver au sommet d’une montagne pour enfin découvrir un endroit recouvert de 20 centimètres de neige. En l’absence d’autre voiture, le silence était absolu et la vue magnifique. C’est ça qui est chouette dans les Highlands d’Écosse, c’est que même quand on se perd, on ne se perd pas vraiment et on peut tomber sur de belles surprises !

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On reprend la route et on fait un premier arrêt au Château qui est sur la route de l’Isle de Skye, il vaut bien 5 minutes de votre temps, de quoi se dégourdir les jambes ou faire une pause pour manger. Mais n’y perdez pas trop de temps, il y a mieux à voir sur le reste du chemin.

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Suite à cela, on roule un peu et on tombe par chance sur un Spar. J’en profite pour vous dire de partir AVEC de la bouffe. Vous ne trouverez presque rien sur le chemin. Donc prévoyez cela en amont, promis, vous ne le regretterez pas. Donc, on mange et on file direction l’Île de Skye. Là, le principe des Highlands s’applique encore une fois. Des vues magnifiques dans tous les sens à ne plus savoir où donner de la tête. Sûrement parce que c’était un jeudi du mois de mars mais il n’y avait pas beaucoup de voitures sur la route. Et une seule autre voiture lorsqu’on est arrivés à Waterfall Alt Kit Rock. Une fois la voiture partie, il ne restait plus que nous. Si vous le pouvez, venez sur des périodes creuses, vous serez tranquilles. Ensuite, on a décidé de s’enfoncer dans l’Île de Skye et là c’était sûrement mon endroit préféré. Alors qu’on roulait sur une route minuscule, j’ai repéré une carrière.


Là, on a posé la voiture et on s’est enfoncés. Dans ces moments-là, on se sent seul au monde. Aucune voiture ne passait, le silence total, seulement le bruit des pas et un décor magique. Après avoir fait une centaine de mètres on a eu la « mauvaise » surprise d’enfoncer nos pieds dans de la tourbe et d’avoir les pieds glacés en quelques secondes. C’est là qu’on a décidé de rebrousser chemin en ayant toutefois assez avancé !



Un conseil, équipez-vous bien avec des chaussures hautes de randonnée et pensez à prendre des chaussettes voire des chaussures de rechanges, ça ne prend pas de place dans une voiture et ça peut vous être utile. Après avoir vu ça, on a décidé de rentrer car il restait tout de même 3h pour rentrer à Inverness. D’ailleurs, autre conseil, évitez d’aller à Inverness, c’est loin de l’île de Skye, autant prendre un « Bed and Breakfast » plus près de l’Île. Il n’y en a pas des tonnes mais il y en a. 


Jour 3 
Ça y est, on a vu ce qu’on voulait voir dans les Highlands, il est temps de retourner à Édimbourg. On part sur les coups de 11 h en prenant une route différente de celle de l’aller. Oui, car à l’aller, l’objectif était de voir les beaux paysages et de s’arrêter sur le côté. Au final, ça a donné un trajet de près de 8 heures. Là, le projet était de tracer le plus vite possible vers la capitale. Du coup, on a pris l’A9. Et si c’est plus rapide, c’est aussi bien moins intéressant. Donc, si vous devenez retenir un truc c’est de ne PAS prendre la route la plus rapide les deux fois, vous allez manquer des trucs !


Une fois arrivés à Édimbourg, on rend la voiture, on dépose les affaires à l’hôtel et on va faire un tour sur Calton Hill. Un endroit qui permet de voir tout le centre-ville d’Édimbourg. La ville n’est pas très grande donc on aperçoit tous les monuments d’un coup. La montée est un peu fatigante mais le résultat est rentable !



Ensuite, on a flâné en ville avant d’aller prendre une bière écossaise dans un pub typique. On rentre et c’est assez cliché. C’est un pub comme vous pouvez les imaginer. Des mecs bourrés qui parlent fort. Précision : il était 18 h. Peu de femmes, une lumière tamisée, bref : un pub.


Jour 4
On avait pris notre vol retour l’après-midi pour ne pas avoir à se presser. Du coup, le matin on en a profité pour faire un tour au Camera Obscura. Un musée de l’illusion qui vous propose de vous rembourser si la visite ne vous plaît pas. C’est pour montrer à quel point ils sont sûrs d’eux. Et en effet, c’est vraiment chouette. Ça n’a pas grand chose à voir avec l’Écosse, le musée pourrait être partout mais il a le mérite d’exister et aussi d’être à côté du Château et de la gare, donc vous pouvez faire d’une pierre plusieurs coups. C’est 15 livres l’entrée pour un adulte. Et ça les vaut !



Ensuite, on a pris l’avion sous la pluie, un temps typique de l’Écosse, pour rentrer à Paris !


Ce qu’il faut retenir si vous voulez faire un voyage en voiture dans les Highlands d’Écosse : 
• louez une voiture ou utilisez une voiture en excellent état, vous n’avez pas envie de vous retrouver en panne dans la montagne.

• prenez un GPS intégré à la voiture (ou un GPS portable). Ne comptez pas sur votre réseau portable, il n’y en a pas du tout dans les Highlands.

• choisissez votre rythme. Sur le chemin il y a eu plusieurs comportements. Ceux qui s’arrêtaient, prenaient une photo et repartaient dans la minute, ceux qui laissaient leur voiture pour aller marauder pendant longtemps et ceux qui faisaient soit l’un soit l’autre (nous). Ce que j’ai préféré c’est quand on posait la voiture et qu’on marchait dans les Highlands en s’éloignant de la route.

• prévoyez à manger ET à boire (c’est paumé, vous n’allez pas avoir 10 occasions de trouver de la bouffe)

• évitez de prendre un AirBnb avec une heure précise pendant laquelle récupérer les clés. Privilégiez une arrivée souple car on ne sait jamais sur quoi vous pouvez tomber !

• préparez de la musique, une tonne de musique ! Dans notre voiture de location, il suffisait d’appairer mon téléphone en BlueTooth pour lancer les listes de lecture Spotify (téléchargées sur mon téléphone au préalable, oui car pas de réseau, vous vous souvenez ?). J’avais environ 120 titres et ça n’a pas été suffisant. Oui car le principe d’un voyage sur la route c’est de passer du temps sur la route. Je dirais qu’environ 150 chansons ça peut suffire pour 8 heures de route. Vous pouvez aussi prendre des podcasts, pour varier.

• si vous y allez en hiver, comme nous, adaptez votre façon de vous habiller. Je suis pas particulièrement frileux donc je peux pas dire que j’ai eu froid. Mais peut-être que j’étais bien préparé. En gros, j’avais un bon manteau, un bonnet, une écharpe, un pull, des gants qui protègent jusqu’à -4 degrés et un chandail à manches courtes. Rien de fou à vrai dire. Les températures tournaient autour de zéro degré. Sachant qu’il avait fait le même temps à Paris, quelques jours avant notre départ, c’était pas trop différent. D’ailleurs, je n’ai même pas utilisé mes gants et j’ai pas perdu mes doigts.

• ne suivez pas un schéma tout tracé. Contrairement à la Tour Eiffel où tout le monde voit la même chose, les Highlands sont assez grands pour que chacun voit un truc différent. J'exagère à peine. Grimper sur cette colline vous donnera une vue que l’autre personne ne verra jamais, crapahuter sur 100 mètres vous fera découvrir une cascade, avoir les yeux bien ouverts vous permettra de voir un troupeau de biches, bref, construisez votre propre voyage, il n’en sera que plus unique !

• soyez en forme physiquement. La partie la plus sympa c'est de s'enfoncer dans les Highlands à pied, ça demande de la souplesse, de l'équilibre, de l'agilité, bref, d'être en pleine possession de ses moyens !

C’était un super voyage que je vous conseille vraiment de faire si vous habitez en France. Oui, car si vous partez d’Afrique du Sud ça fait un peu loin. Depuis Paris, le voyage en avion jusqu’à Édimbourg dure 1h25. Promis, vous ne serez pas déçu·e·s !