RETROUVER UNE PROF

J'ai voulu retrouver une professeure d'anglais qui a marqué ma scolarité.

Et si tu devenais végétarien ?

Découvrez l'infographie sur le vegétarisme en France et une vidéo sur le végétarisme à Paris

Avis - d'âne à zèbre de François Bégaudeau

Pourquoi Vincent Delerm ne chante pas plus fort ? Pourquoi la jalousie c'est du vol ?

jeudi 31 juillet 2014

logo carte




dimanche 27 juillet 2014

Pignon fixe ou roue libre ?




Tout d'abord, faire du vélo, c'est bien. Alors que vous choisissiez de prendre un pignon fixe ou un à roue libre ce sera une bonne décision. Mais, il faut savoir à quoi vous attendre selon votre choix. Ayant eu l'occasion de longuement tester les deux, je vous propose mon point de vue. Ou plutôt mes.


Général

PF
Avec le pignon fixe vous ne pouvez pas vous arrêter de pédaler avec la roue libre si. Il s'agit là de la principale différence entre les deux. Le fixie permet d'avoir un entraînement du pédalier et de se sentir porté par son vélo. L'avantage, c'est que cela permet d'aller plus vite et de moins se fatiguer. C'est pourquoi les pistards utilisent tous un PF. D'ailleurs, cette sensation si étrange au départ devient très agréable au bout de quelques jours.

RL
Certes, il n'y a pas l'entraînement mais le principal avantage c'est de pouvoir arrêter de pédaler quand vos jambes ne suivent plus.



Les vitesses

PF
Simple, il n'y en a qu'une seule. C'est pourquoi il faut la choisir avec attention. Les branleurs ont tendance à prendre un gros braquet difficile à emmener. C'est stupide car un ratio important est plus difficile à manœuvrer en ville et cela vous fait des grosses cuisses. Mon conseil, prenez-en un qui oscille autour de 2,5. C'est un bon compromis pour les descentes, le plat et les montées. Aussi, je pense qu'il est plus intéressant de développer sa vélocité (la rapidité avec laquelle vous tournez vos jambes) que la force.

>>> Je roule donc je suis

Le site Surplace vous permet de calculer votre ratio.

Le ratio de mon fixie en 2011

Il ressemblait à cela.


N'oubliez pas que plus votre ratio est élevé moins il est facile de démarrer. Si, comme moi, vous aimez mettre 10 mètres aux voitures au niveau des feux rouges, cela risque d'être compliqué.

RL
Vous pouvez en avoir autant que vous le souhaitez. Une pour aller très vite et une autre pour les montées.

>>> Faire du vélo à Paris, c'est dangereux ? 


Le poids 
Cela ne concerne pas ceux qui, comme moi avant de venir vivre à Paris, habitent dans une maison, mais cela peut avoir une importance quand on vit au troisième étage d'un immeuble et qu'on n'a pas envie de laisser son vélo dans la rue. Un vélo normal c'est lourd. Entre la cassette, les garde-boues ou encore les freins, le poids monte rapidement. Après, comme mon daily actuel (visible ci-dessous), il peut être épuré. Je n'ai pas de garde-boue. Par contre, j'ai deux freins, même si je n'utilise jamais celui placé à l'arrière. Donc, au niveau du poids, le fixie est généralement très léger et facile à porter sur son épaule, un vrai avantage.


L'esthétique 
On peut croire que les fixies sont plus beaux que les autres vélos. C'est presque vrai. Une cassette est très moche contrairement à un simple pignon. Sinon, sur le reste, un vélo à roue libre peut être identique.

Les freins
Ce qui nous emmène aux freins. Un autre différence majeure. Comme vous l'avez compris, quand vous avez un pignon fixe vous ne pouvez pas arrêter de pédaler SAUF, si vous voulez vous arrêter. Bien entendu, vous avez la possibilité de mettre des freins mais, avec un peu d'entraînement, vous pourrez skidder. Cela consiste simplement à arrêter de pédaler et donc à bloquer la roue arrière et à glisser pour s'arrêter ou ralentir. Au début, il faut s'entraîner sur une surface assez glissante (un parking souterrain par exemple) avant de tester sur du goudron. Sinon, vous risquez de passer par-dessus votre guidon. Si vous souhaitez vous rassurer, vous avez la possibilité de mettre des freins.

Quand j'avais mon fixe, je skiddais très souvent, je me suis planté deux fois sans vraiment me faire mal. C'est très drôle à faire en plus d'être pratique mais un skid met beaucoup de tensions dans les jambes. En ce qui me concerne, ma jambe la plus forte était la droite. Après une année à prendre mon vélo tous les jours et à skidder, elle a lâché, je me suis retrouvé avec une sciatique, je ne pouvais plus m'asseoir, j'étais obligé de prendre des positions pas possibles pour ne pas ressentir la douleur et bien entendu je ne pouvais plus faire de vélo. Cela reste, pour l'instant, le pire souvenir de ma vie.

Si je n'avais pas eu cette mésaventure, je serais probablement encore aujourd'hui en fixie. Mais après une reprise en douceur, j'ai décidé d'opter pour la carte de la sécurité.


(source)

Le prix
Vous l'avez remarqué, ces dernières années, le fixie est ''à la mode''. Je déteste ce terme mais c'est celui qui indique le mieux l'effervescence autour de ce vélo. Et comme pour tout ce qui est à la mode, les prix grimpent. Donc, il peut arriver de trouver sur Le Bon Coin, des types qui vendent des fixies à des prix élévés : 3-4-500 euros. Alors que le même vélo en roue libre avec une cassette peut partir à moins de 100 euros. C'est le cas du mien acheté 70 euros.

>>> 3 objets hypés pour rien


Conclusions
La bonne alternative c'est... le single speed. Un vélo à vitesse unique qui ressemble beaucoup à un fixie mais avec une roue libre. Il est léger et esthétiquement beau. Par contre, cela dépend de chacun, en ce qui me concerne je roule toujours avec la même vitesse, que ce soit sur du plat, en descente ou en montée. Si c'est votre cas, le single speed est vraiment fait pour vous.

Le fixie c'est bien aussi, si vous n'avez pas de problème aux jambes mais il y a un élément qui me gêne. Il n'a rien à voir avec la sensation ou l'efficacité mais plus par rapport à son image. Avec un fixie, vous avez beaucoup plus de chances de vous faire voler votre vélo. Si vous avez mis plus de 500 euros pour le faire, c'est juste chiant. Tout le monde sait comment ouvrir un cadenas aujourd'hui donc c'est dangereux. Un vélo pas très beau comme le mien attire moins l'oeil. Et puis, si je me le fais taper, il n'aura coûté que 70 euros.

Aussi, si vous avez le temps, n'hésitez pas à acheter un vélo d'occasion et à le retaper, c'est toujours plus sympa que de l'acheter tout fait. A Paris, vous pouvez fabriquer votre vélo de A à Z chez Cyclofficine.

Je vous laisse avec cette vidéo amusante.


"Golden Tree" by Martin Brooks from Ninian Doff on Vimeo.

3 objets hypés... pour rien

La hype, c'est de la merde. Voici 3 objets devenus populaires alors qu'ils ne le méritaient pas.

Le mini skate

66 minutes avait fait un reportage à ce sujet. Dedans, ils montraient deux parisiennes qui allaient acheter un mini skate. Pour justifier leur achat, elles ont dit que c'était à la mode.


A la mode, comprendre que dès que cela ne le sera plus, d'ici la fin de l'année 2014, leur mini skate prendra la poussière et sera remplacé par le nouveau moyen de transport hypé par les médias et le marketing. Si je trouve que c'est hypé pour rien c'est parce que j'ai longtemps fait du skate et que l'intérêt de base du skate c'est de faire des tricks et de rouler entre. Il est fait pour cela. Avec le mini-skate en plastique on peut certes faire des pop shove-it mais c'est tout. La stabilité est mauvaise. Et j'ai dit cela après en avoir testé un. Combien j'ai vu de personnes dans la rue en train d'essayer d'avancer avec leur mini skate et galérer ? Beaucoup, vraiment. Trop. Pour monter un trottoir, on fait comment ? On fait pas car il n'y a pas de grip sur le dessus, donc, pas de ollie. C'est un joli produit de marketing. Bien joué.

>>> Faire du vélo à Paris, c'est dangereux ? 


Le totebag


Objet marketing très utile car il permet de diffuser son slogan ou le logo de sa marque très facilement et auprès d'une communauté qui, a priori, a de l'argent. Oui, il y a plus de totebags dans une entreprise de communication parisienne que dans un supermarché de province. J'en ai plusieurs et c'est pour cela que je suis agacé par ce produit. Ce qui me chagrine, c'est qu'au-delà de l'aspect esthétique du totebag, il est tout sauf pratique. En plus de ne pas être très grand, il est difficile à porter. Il tombe toujours. Et si, comme moi, vous êtes à vélo, alors c'est juste impossible à trimballer. Et puis aussi il n'y a pas de fermeture. Idéal pour les voleurs.

La trottinette



Les montées. Juste cela. A part si vous vivez dans un endroit très plat, faire des montées avec une trottinette cela ne fonctionne pas. Aussi, c'est compliqué de lâcher une main, quand tu es sur une trottinette tu peux seulement te concentrer dessus. Chiant.

A lire aussi
Je roule donc je suis
Top 9 des raisons d'aimer le métro parisien

Witz and vines #7

WITZ

Médecine. Pour leur santé, les hommes devraient uriner assis. Cette révélation laisse Philippe Croizon indifférent.

Télé. Gad Elmaleh a touché 450 000 euros pour les pubs LCL. Malheureusement pour lui, le talent ne s'achète pas.


Boisson. Le Vatican est l'Etat qui a la plus forte consommation de vin par habitant au monde. Gérard Depardieu y aurait sa résidence secondaire.(première phrase lu dans le Neon spécial été 2014).

VINES





mardi 22 juillet 2014

Interview : Let Down straight edge (PA)

Tu ne le sais certainement pas mais j'ai sorti un fanzine en 2009. Cela parlait surtout de straight edge. J'ai réussi à remettre la main sur l'interview principale en version originale. J'ai pris vraiment beaucoup de plaisir à faire ce fanzine de A à Z en bricolant sur Photofiltre. Stupide, je n'ai même pas gardé un exemplaire pour moi.



1) Hi, would you like to introduce your band, his history, each members (what do they do outside of the band, where do they live etc…). 

Okay, we’re Let Down, a straight edge hardcore band originally from Chalfont, PA, in the suburbs of Philadelphia. Bob is our singer, he lives in Philadelphia on different people’s couches when he’s not booking shows or doing stuff with Mother of Mercy. Kyle is our drummer, he attends Temple University in Philly and also plays in Mother of Mercy, I think he still works at the skate park around here. Drew is our guitar player, he’s the only one keeping it real who still lives in Chalfont, he graduated from college and is seeking a terrific career. I’m Justin and I play bass, I’m the one filling out this interview, I live in Doylestown, another suburb like 10 minutes from Chalfont and I work in a flower shop. Trying to start a cleaning business and cop a Jaguar in the near future.




2) How did you guys went into hardcore, your first show ?
My first real hardcore show was Reach the Sky in nearby Lansdale when I had just turned 15. I think all of our stories about getting into hardcore would mostly have the common bond that our area has always had a strong local scene in one way or another, these scenes have gone through a lot of phases over the last ten years but there have always been cool shows happening around here with some regularity, and of course Philadelphia has always had stuff going on. So like in other places you would just start off listening to punk or whatever and never really take it any farther than something you listen to in your bedroom or on your headphones, around here if you’re into that stuff you’re bound to meet other people and then someone will take you to a show and if you’re into it you’ll just keep going and getting into more music that way.

3) Well, why did you began a straight edge band, what straight-edge mean for you ?
When we started Let Down about five years ago, being a straight edge band was THE most important thing - like in our scene it seemed like an unachievable goal. At the time (like 2004) there were a lot of kids who went to shows, mostly because they didn’t happen too often, but it was like us and our friends and a core of like 20 people who were actually into hardcore and then 150 “normals”. Finding a line-up of all straight edge kids who were into hardcore required me to be the bass player and I’d never even played bass before, I was just the only logical candidate to fill out the band. I think we all have different concepts of what straight edge specifically means to us but I think as a band we were always on the same page about the function of a straight edge hardcore band - we never set out to “enlighten” anyone or preach about togetherness or any of that bullshit. Hardcore is supposed to be an outlet, mostly we’ve existed just to channel our rage at drinking, drugs and all that other bullshit because it really is pretty stupid and obnoxious. Coincidentally, we did all this shit at a time in hardcore when no bands were really talking about straight edge in the context we were, so as time went on our goal was basically to be the Judge or Floorpunch of the mid-late 2000s era.

4) You make a pissed-off hardcore who seems to be driven by anger, do you think that anyone could listen to your music ?
Hahaha good question! I guess people listen to our music, I mean if you check on last.fm it shows that a few people listen to it every month. When we set off as a band I think one of our goals was mostly just to make a band that WE would want to listen to first and foremost, and I feel like we’ve accomplished that pretty well. I’m not the kind of person who can hang around listening to my own band but if I was someone else (but still had my personality?) and heard Let Down, I think I’d be into it, so that’s okay. We say a lot of shit that other bands aren’t saying and I think that connects with some people, at least that’s what they tell me. LD is the kind of band that people either “get” or they don’t.



5) In the song ”Never Again” you say ”don’t try me again cuz I won’t let it happen again” . I guess it deals with the guy who are attempting to make you drink or smoke. In your everyday life is it often happening, do the people around you understand why you are straight-edge ?
"Never Again" is about a specific show we played in Chattanoogah, Tennessee when we were on tour at some shitty punk house, this punk dude was like holding a beer in Bob’s face when he was singing and Bob hit him or something, afterwards the dude asked what Bob’s problem was and Bob was just like "get the fuck away from me before I kill you", it turned into this big thing where we thought we were going to have to fight this whole venue, I think later Bob kind of wished he took it further and actually took the dude’s bottle and smashed it in his face. I identify with "Never Again" as being like, when someone gives you a bunch of shit and then later you think back, even if you did stand up for yourself which Bob and the rest of us definitely did, you’ll think "the next time that happens to me it’s going to be different". As far as people understanding us being straight edge, I can’t speak for everyone else but in my life I don’t have a really hard time with it. Most of the people I see on a consistent basis are people who I’ve known for years and they know not to bother me about drinking or drugs or whatever, I tend to use straight edge as a filter to keep me out of stupid social situations where drugs or drinking are required to "have fun" or whatever. I’m sure if I spent my time going to bars or parties it might be something I hear about more often but I’m so far removed from that it’s not even really an issue.

6) Well, in ”Different Way” you deal with a classic straight-edge theme. A friend who give up with straight edge. Do you think that edge break means face break ? Or more seriousely, do you think that if a friend of yours is done with straight edge you won’t talk to him again ?
HAHAHA “EDGEBREAK FACEBREAK!” Reminds me of the great faux-european hardcore band XHEADWALKX. Anyway first off that song is actually called “Different View”, not that it matters. I don’t think we ever really played that one live. Personally, and I think this pretty much goes for everyone in LD but like, I wouldn’t stop hanging out with someone just because they broke edge, but for me like a lot of my friendships with the people I know that are straight edge are based on the things we have in common - going to shows, finding things to do that aren’t drinking or whatever, so when that person breaks edge (and usually stops being interested in hardcore pretty soon after) we sort of lose what we have in common, then we’re not exactly friends anymore. That song is more about just how people talk a good one and then a few years down the line they become everything they once claimed to hate, and their words from not that long ago are just a big joke. We’ve been a band for so long, I can’t count how many places we would hit every time we toured and slowly watch the straight edge population drop to zero, meanwhile we’re still straight edge, still playing in this straight edge band with these songs about it, must look pretty stupid to everyone to see us still doing the same shit. oh well. I guess that’s the DIFFERENT VIEW or whatever.

 (Justin, le bassiste, a répondu aux questions)

7) In Europe there is something who is raising this last couple of years which is called ”Binge drinking”. It consists in drinking as much booze as you can and in any places, beach, streets etc... Is there the same things in Chalfont, PA ?
People everywhere love to drink as much as possible, so yeah I’m sure it’s pretty much the same. I mean if you really think about it, life is pretty pointless and the world is harsh or whatever and we’re all gonna die alone etc etc so you can either be a BABY (WAHHH) about it and reach for a bottle like everyone else or you can just say “fuck it” and not to do that. We chose the latter option.

''Il faudrait instaurer la peine de mort pour les mineurs qui boivent''

8) In France there is a law who forbid the teen under 16 years old to buy alcohol or cigarets, what do you think of that, is there similar law in Pennsylvania ?
Yeah in the US the drinking age is 21, which probably seems way high to you europeans hahaha. Cigarettes is 18 but there’s no consequence for “underage smoking”, I mean you get hit with fines and shit if you drink but that doesn’t stop anybody, I’d say the average American teenager starts drinking at like 15 or whatever. What do I think about drinking ages? They should institute the death penalty for underage drinking. Nah I’m kidding. Or am I?

9) You guys went to south-est France, how was it ? In the north-west France there were a lot of guys who were so disappointed that you didn’t came over here. Are you preparing a new euro-tour ?
A lot of people asked me about that because France for some reason has this reputation in America for being really snotty/rude/anti-american or whatever, I have to say that the people we met over there were some of the nicest in all of Europe, although they probably hate us now because our singer did some interview where he talked about how the food wasn’t that great on the euro-tour and it wasn’t a very good time.  So yeah Marseille was kind of cool, seemed like a weird scene, they apparently don’t get a lot of “real” hardcore bands there, but they were nice kids. Obviously we would have liked to play/see France, I’ve never been there so of course I want to see all the sick landmarks, it just wasn’t in the tour plans for whatever reason. Bummer. As far as another Euro-tour goes, I don’t think that’s happening, the last one didn’t go so well and a lot of people are pretty pissed at us over there, we do get a decent number of friendly messages and stuff from euros so I guess some do like us but we’re not really touring anywhere anymore so it doesn’t look like we’ll be back. The European tour was pretty wack from our perspective - if we would have gone out with a bigger band or maybe had someone different book it, maybe we would have had a better chance but who knows. None of us have any delusions about how big of a band Let Down is/was, we know we’re not exactly a huge draw, but the whole thing with Europe is that you play these venues that are GIGANTIC to like 30 people, but you’re on a huge stage with all these “pro” lighting affects and a super professional soundcheck/linecheck that you have to show up five hours in advance for - it takes all the fun out of it. Back in the US, on the way back from Sound and Fury we were playing basements and garages with War Hungry and Swamp Thing to like 20-60 people a night and it was a great time. Bob talked about how we didn’t have that much fun in a blog interview and we got a lot of shit for it - whatever, we paid for our plane tickets, between that and all the money we lost over there we were out like $4000, I think we have a right to voice our opinion hahaha. A lot of people said we should have just been grateful, but look - every American band tours Europe nowadays, we were playing with shitty US bands like At Half Mast that I had never even heard of before I saw them in Europe at that point I don’t think they had ever even done a US tour before. If you have a demo and a shirt and can afford a plane ticket, boom, you’ve got a Euro tour. They probably did better than us too because just like in the US if you get on your knees and blow the people you’re playing for, you’ll sell some shirts. Whatever though, not like it matters now. So to anyone in Europe who wanted to see us and didn’t get a chance to, sorry - try to book plane tickets to this is hardcore! Get at me, I’ll even let you stay at my apartment.



10) Thanx, for taking the time to answer my questions. If you’ve got any messages to tell to the kids, any shout out, it’s now or never.
Thanks so much for the interview, it was wacky. So the future of Let Down is that we’re gonna do these OLC shows, then we’re gonna do This is Hardcore fest in Philly, then we’re probably gonna do a last show in our home town around the end of the summer and then we’re gonna hang it up. Five years is a long time for a straight edge hardcore band and we’re going out the same way we came in, still talking about straight edge and still not giving a fuck what people think about us. So to anyone who supported us in any way over the last 5 years, even if you never even went to a show but just downloaded our records or whatever and liked what we had to say, thanks a lot. That goes for everyone around the world. Book a show, do a zine, don’t waste your time reading or posting on the bridge 9 board. Straight edge now and forever. XXX.

Je vous laisse avec ce qui est pour moi, la meilleure intro de hardcore.


Let Down (TIH 2009, Phase 1) from hate5six on Vimeo.

.

12 personnes qu'on trouve à un concert de hardcore

Les musiciens. Ouais, car s'il n'y a personne sur scène, il n'y a pas de concert et c'est chiant.


Le skin. Facilement reconnaissable à son crâne rasé et à ses boots ou ses Adidas samba noires et blanches. En général, c'est celui qui lève sa bière et la renverse dans le pit.

Le straight edge. Celui qui s'agace de la bière renversée dans le pit car ça glisse. Et aussi, les gens bourrés relous qui ne se contrôlent plus. En général, il porte des sneakers. Certains ont des croix sur les mains. Plutôt rare en France.



Les petites-amies des musiciens (ou les petits-amis). Pas difficile de les reconnaître, elles/ils sont toujours au premier rang et on peut lire dans leurs yeux de la fierté. Même si le groupe est nul.



Le leader naturel. En général, il est assez âgé et est présent dans la scène depuis de longues années. Il a déjà eu plusieurs groupes.

Le néophyte. Au départ, il se met devant la scène et se fait vite éjecter par les mosheurs sans comprendre pourquoi ils bougent de façon étrange.


Le meilleur ami. Jamais loin de la scène, il connaît toutes les paroles et se tient prêt à les crier quand le chanteur tend son micro.

 Le timide. Il n'est pas nouveau dans le milieu. Il est sur le côté, plutôt vers l'avant, il bouge la tête, reproduit la batterie avec ses doigts. Il aimerait se lancer mais n'ose pas de peur d'être ridicule.

Le slammeur. Celui dont la seule obsession est de slammer. S'il est maigre cela fonctionne souvent, s'il ne l'est pas, ceux qui le réceptionnent ont intérêt à avoir de la force dans les bras.



Le photographe. Quand il y en a trop, c'est relou. Mais, même si personne ne l'avoue publiquement, tout le monde aime revoir les photos des concerts sur Internet. Cela fait des souvenirs.

Le jeune qui était fan de Pleymo. Il s'ambiance en voulant pogoter mais comprend rapidement que ce n'est pas le propos du concert.

Le collègue du bassiste. Il n'écoute jamais de hardcore mais est venu par curiosité. Il ne comprend rien du tout. ''Pourquoi il vient de faire une roulade avant le gars là ?''



dimanche 20 juillet 2014

Avis - Radiographie de Laurent Ruquier



Préambule
Tu le sais si tu suis le blog, j'aime bien le travail de Laurent Ruquier. Je te l'ai expliqué dans cet article et celui-ci. C'était donc impensable pour moi de ne pas chercher à savoir d'où venait celui qui m'apparaît comme le plus normal des animateurs vedettes du P.A.F. |

De quoi ça parle ? 



Avis 
J'ai corné beaucoup de passages. Quand je le fais, cela signifie que le livre m'a beaucoup intéressé. Aussi, je l'ai lu très rapidement, en quelques heures. Je l'ai bien aimé. Même si, contrairement à ce qui est dit sur la quatrième de couv', il n'est pas si discret que cela. Un documentaire sur lui réalisé par Gérard Miller avait été diffusé sur France Télévisions. C'était intéressant mais moins que cette autobiographie. C'est difficile d'écrire une biographie, qu'elle soit auto ou pas, surtout par rapport à la chronologie. On est naturellement tenté de proposer une chronologie basique. L'ancien animateur d'Europe 1 a organisé le début de sa vie avec des chapitres qui portent les noms des rues par lesquelles il est passé. Malin.



A vrai dire, ceux qui suivent Laurent Ruquier depuis quelques temps savent qu'il vient d'un milieu modeste du Havre. Là, il explique en détails son parcours. Et à 20 ans, personne n'aurait pu penser qu'il se retrouverait à être l'un des animateurs les plus rassurants pour ses patrons. A 22 ans, il s'est retrouvé animateur de supermarché.

''Je n'ai jamais osé mettre dans mon CV que j'avais assuré des animations avec Carlos chez But, Jacques Anquetil chez Conforama ou Thierry Roland chez Leroy Merlin. [...] Cela n'a rien de honteux, mais je préfère l'avoir fait avant que d'avoir besoin de le faire après.''

>>> On va s'gêner s'est arrêtée, fait chier

Je peux vous l'avouer maintenant et c'est ce qui, selon moi est le plus intéressant dans ce livre, la relation de Laurent Ruquier avec RTL. Comme je vous l'ai expliqué dans cet article, je ne comprenais pas pourquoi il avait quitté Europe 1, j'étais déçu et après avoir lu Radiographie tout s'est éclairci. RTL est la première radio dans laquelle il a fait un stage à l'âge de 17 ans.



C'est aussi la radio qu'il écoutait quand il était tout petit, celle avec qui il a grandi et pour laquelle il rêvait de travailler. Il y a déjà fait un tour avant cette rentrée 2014 mais cela n'avait pas duré longtemps.

Aussi, il revient beaucoup sur Philippe Bouvard qu'il s'apprête à remplacer à l'animation des Grosses Têtes et il le place clairement sur un piédestal. 

(page 35,36)
''Le samedi soir, j'avais une dérogation pour veiller un peu plus tard et j'aimais regarder un monsieur, certes pas beaucoup plus grand que moi, mais qui m'intriguait et m'impressionnait beaucoup. Philippe Bouvard animait une émission qui se déroulait chez Maxim's et recevait toutes sortes de personnalités. J'étais attiré par sa façon si différente d'interviewer ses invités. Dans toutes les autres émissions, on vantait les mérites de chaque artiste qu'on recevait et on entendait poser des questions dont on connaissait les réponses. Lui , n'hésitait pas à poser la question mordante et à mettre parfois ses invités mal à l'aise.''

''L'intérêt d'une radio à engager un animateur qui ''marche'' chez un concurrent, ce n'est pas seulement d'espérer qu'il va avoir autant de succès chez elle, c'est aussi de le supprimer de la grille d'en face.'' (page 181, 182)

Plus loin dans le livre, il revient sur la fois où Bouvard, lorsqu'il avait été viré de RTL, était venu piger à Europe 1 dans son émission.

''Ces trois mois furent difficiles à vivre pour Philippe Bouvard. J'imagine qu'il en a un mauvais souvenir et je comprends qu'il ait eu envie de l'effacer de sa mémoire. J'ai coutume de dire que, sans le savoir, Philippe Bouvard m'a appris beaucoup pendant dix ans, avant de venir en stage chez moi pendant trois mois.''

Mmh, il ne l'a pas vraiment fait car il en parlé avec amertume dans son livre Je crois me souvenir... dont je vous ai déjà parlé sur le blog.

>>> Avis : Je crois me souvenir de Philippe Bouvard

Même si pendant ses années à Europe 1, il est arrivé à Laurent Ruquier de faire des blagues sur l'âge avancé de son concurrent direct, il n'a jamais été méchant et dans ce livre, il reste classe. En tout cas, plus que Bouvard, aigri, qui a refusé de prononcer le nom de son remplaçant dans une interview accordée au Figaro. Cela doit être bizarre tout de même d'être jalousé par celui qui fut, un temps, son modèle.

Au-delà de cela, l'intérêt d'une autobiographie écrite par quelqu'un de plus vieux que celui qui la lit, c'est à dire moi, c'est de découvrir ce qui a existé, en termes de médias, avant sa naissance. On apprend que les gens qu'on a vu ou qu'on voit encore, on déjà eu une longue carrière. Ainsi, j'ai appris que, à la base, du temps de France Inter, Laurence Boccolini, aujourd'hui cantonnée à divertir les couches populaires françaises sur TF1, était dans la fameuse ''Bande à Ruquier''.

Je terminerais par cette citation : ''Ceux qui sont parfois les plus radicaux à l'antenne sont parfois des plus agréables dans la vie. Et inversement. Je ne partage aucune de ses idées, mais en dehors des micros ou des caméras, dans le duo Naulleau-Zemmour, c'est celui des deux dont j'ai le plus apprécié le comportement à la sortie de notre aventure télévisuelle commune. J'ai le plus grand respect pour sa façon d'être au quotidien''.

Je vous recommande vivement ce livre.

Conseil de lecture
Place François 1er à Paris.

Infos
202 pages
16,80 euros
Le lien pour l'acheter

A lire aussi
Europe 1 : le jour où j'ai assisté à On va s'gêner
Avis : Il est de retour de Timur Vermes
Avis : On va s'gêner, le plus drôle des 15 ans

Witz and Vines #6

WITZ 

Vous avez le choix entre la vidéo (audio) et le texte. 


 

Série US. Kaley Cuoco de The Big Bang Theory demande 1 million de dollars par épisode. Ca devrait être suffisant pour avoir le nez rempli.

Football. La mère de Cristiano Ronaldo a déclaré qu'elle a pensé à avorter de son fils. Elle n'était pas certaine d'avoir assez d'argent pour acheter suffisamment de pots de gel.

Cinéma. Cette semaine, Xavier Dolan a sorti la bande-annonce de Mommy. Le rôle principal est tenu par Jeanne Moreau.

Santé. En Normandie, 500 dons de sang sont nécessaires chaque jour, les Françaises sont invitées à se rendre dans la région quand elles ont leurs règles.

Aviation. Moins d'une centaine d'enfants sont mort dans la crash de l'avion de la Malaysia Airlines. C'est toujours ça de moins à violer pour les pédophiles. 

Conflit. Israël reproche au Hamas d'envoyer des Roquettes sur son territoire. Les Palestiniens les accusent de raconter des salades.

VINES


Retrouvez les 5 premiers Witz and Vines -> ICI.

vendredi 18 juillet 2014

Avis cinéma - Fiston, Die Welle, Le crocodile du Botswanga, Snowpiercer...

 (source)

Fiston de Pascal Bourdiaux avec Kev Adams et Franck Dubosc (2014)

L'intense promotion autour de ce film ne m'a pas rassuré. En général, ce n'est pas bon signe. Rappelez-vous de la catastrophe Pas très normales activités. Cependant, là, le résultat est plutôt réussi. C'est bien écrit, les blagues ne sont pas trop lourdes et le duo fonctionne bien. Franck Dubosc est drôle, c'est un fait. Là où certains pourraient bloquer, a priori, c'est sur Kev Adams. ''C'est un humoriste pour ados'', tout ça, tout ça. J'ai vu son premier spectacle et je ne suis clairement pas dans la cible. Par contre la série Soda, diffusée sur W9 est mieux. Et dans Fiston, il est bon. Ca se sent que c'est quelqu'un qui travaille beaucoup et le résultat est visible. Deux bonnes performances ajoutées à une bonne histoire cela donne un film plus que correct. [7,5/10]



Box-office France : 1 841 828 entrées



Die Welle de Dennis Gansel avec des acteurs que tu ne connais pas (2009)

En version française, le film s'appelle La vague mais je l'ai vu en VOSTFR alors je mets Die Welle. Ce film allemand est fou. Pas de stars mais un scénario solide. Le long-métrage montre comment on peut faire naître une dictature avec un leader charismatique et des sujets friables. Le tout se passe dans un lycée. Ca joue bien, c'est prenant, c'est à voir. [10/10]



Box-office France : 184 886 entrées.

>>> Avis lecture - Il est de retour de Timur Vermes

Le crocodile du Botswanga de Fabrice Eboué (2014)
J'aime bien Eboué et Thomas Ngijol, je les trouve drôles et ce film l'est aussi. J'ai beaucoup rigolé par contre l'histoire est médiocre. [5,5/10]

Box-office France : 1 227 314 entrées.

Voici un extrait du film :







Snowpiercer de Joon-ho Bong (2013)
L'affiche montre un train qui avance dans un paysage glacé. A priori, ce n'est pas le genre de film qui pourrait m'attirer mais j'ai été curieux et je ne l'ai pas regretté. Je ne sais pas si on peut parler d'un huis-clos, en tout cas, 99 % de l'action se déroule dans le train qui est une mini-société où il y a les riches d'un côté et les pauvres de l'autre. Le manichéisme est un point faible du film. La fin, tu la connais déjà mais tout ce qui se passe entre est très prenant et on ne voit pas les 126 minutes passer. Les combats sont remarquablement bien faits et ça joue plutôt bien. [6,5/10]

Box-office France : 451 954 entrées.



American Nightmare de James DeMonaco (2013)
La bande-annonce est drôlement bien foutue. Elle explique qu'une fois par an, aux Etats-Unis et pendant 12 heures, tout le monde peut tuer tout le monde. On suit l'histoire d'une famille qui n'a pas envie de se prêter à ce petit jeu et qui s'enferme chez elle grâce à un système de sécurité très développé. Quand quelqu'un vient frapper à leur porte pour leur demander de l'aider, ils hésitent et... ils vont regretter leur décision. Ce n'est pas fou, ce n'est pas dégueulasse. Ce n'est clairement pas un film à voir absolument. [4/10].

Box-office France : 346 835 entrées.




A lire aussi :

jeudi 17 juillet 2014

Avis - Il est de retour de Timur Vermes



Préambule
J'ai entendu parler de ce livre dans On va s'gêner sur Europe 1. C'est un livre qui parle d'Hitler et le vendeur du Comptoir des mots n'a pu s'empêcher de me faire remarquer que le prix avait été fixé à 19,33 euros. Si tu ne comprends pas, je te laisse faire des recherches.

De quoi ça parle ? 



Avis
Je reste sur un sentiment d'inachevé. Je pensais assister au retour au sommet d'Adolf Hitler et finalement le livre s'arrête juste avant. Toutefois, avec le recul, je réalise que ce n'est pas plus mal ainsi. Il est retour est très agréable à lire. Les chapitres sont relativement courts et ils conviennent parfaitement à trois ou quatre stations de métro ou de bus. Selon moi, ce bouquin est divisé en deux parties. D'un côté, il montre comment Adolf Hitler pourrait refaire ce qu'il a fait au début du XXe siècle en Allemagne et de l'autre, il décrit simplement les sensations et les impressions d'un homme mort en 1945 qui retrouverait la vie de nos jours. Cette partie est très drôle et elle met en exergue certain comportement ridicules de notre société. Par exemple, à travers la voix d'Hitler, l'auteur décrit un programme qui semble ressembler à Pascal le grand frère et c'est très drôle.

Il s'attarde aussi sur l'évolution de la façon de s'habiller des jeunes filles :

''Les jeunes filles s'habillaient très près du corps, signalant ainsi sans ambiguïté leur désir de trouver un partenaire pour fonder une famille.''

Page 127, il y a un passage vraiment drôle. Pour vous situer le contexte, Hitler ne sait pas à quoi sert l'écran qui est sur le bureau de sa secrétaire et il l'invite à prendre une machine à écrire.

'' - Je ne sais pas me servir d'une machine, dit-elle, je sais seulement me servir d'un PC. Il faut savoir qu'avec un ordinateur vous avez toutes les polices dont vous avez besoin.
- Pour la police, j'ai déjà la Gestapo.''

Aussi, page 266, Hitler rencontre le leader d'un parti d'extrême-droit allemand et il remarque qu'il n'y a plus rien à voir avec le sien. Comparé à ce qu'il faisait avec ses hommes, il considère qu'ils sont bien sages et modérés. Ce passage permet de remettre le terme de fascisme en perspective, surtout quand, ces derniers temps, il est utilisé à tort et à travers. Rappelons que pour pouvoir parler de fascisme, il faudrait qu'un parti soit incarné par une seule personne, qu'il encourage les violences physiques envers tous ceux qui ne pensent pas comme sa doctrine. Quant au populisme, une autre caractéristique de ce mouvement, c'est une forme de discours qui n'est pas seulement utilisé par l'extrême-droite.

Dans ce livre, il montre aussi qu'une simple chaîne Youtube peut-être un formidable outil de propagande. 

Sinon, c'est un détail mais il est aussi très virulent envers le Bild, ce journal allemand à cheval entre l'Equipe et le Sun.

Conseil de lecture
Dans le Thalys en direction de l'Allemagne.

Infos
393 pages
19,33 euros
Lien pour l'acheter

A lire aussi :
Avis - La lenteur de Milan Kundera
Les librairies parisiennes entrent en résistance
Avis - Expo 58 de Jonathan Coe

mercredi 16 juillet 2014

Playlist spotify : pour en finir avec le printemps (Naast, Future Islands, New Found Glory, Tyler The Creator...)






1. Saves The Day - Remember -
Des fois, comme ça, je réfléchis et je me demande quel est mon groupe préféré. Il m'arrive de tergiverser mais quand j'écoute Saves The Day devient tout de suite évidente. J'ai eu la chance de les voir à Dortmund en avril dernier. 




Saves The Day @ Dortmund, Germany (22/04/2014) from Eric Murphy on Vimeo.

2. Tyler The Creator - Tamale -
Ce titre est tout simplement entêtant. 

3. New Found Glory - My Friends Over You - 
J'avoue, un peu de nostalgie se cache derrière ce titre. Cela me rappelle le temps où je voyais passer ce clip sur MTV. 

4. Blink 182 - Dick Lips -
Je devais être en cinquième quand j'ai entendu ce titre pour la première fois. Ma rencontre avec le punk-rock qui m'a ouvert beaucoup de portes. 

5. Casseurs Flowters - Regarde comme il faut beau -
L'album n'est pas bon mais je trouve ça cool de l'ouvrir par ''J'men bats les couilles''. J'apprécie Izia aussi.

6. Mac Miller - Life ain't easy - 
J'ai vraiment cramé les deux premières mixtapes de Mac Miller. Elles étaient à fond dans ma voiture, quand j'en avais une. Quelques-uns des titres font partie des morceaux les plus écoutés sur mon iPod depuis que je l'ai. Et puis le sample est frais. 

7. Naast - La fille que j'aime -
Pour moi, il s'agit du meilleur groupe de rock français de tous les temps. Je regrette qu'ils se soient arrêtés après leur premier album et puis je me dis que finalement c'est pas plus mal comme ça. Ils n'ont pas pu décevoir. Car ce premier et dernier disque est juste fou et ça chante en française et ça c'est vraiment cool. Dommage qu'une histoire de fourchette soit venue tout gâcher. 

8. Future Islands - Seasons -
Ma belle découverte de l'année 2014. La vague froide est de retour. 

9. She & Him - Over and over again -
J'ai eu la chance de voir le groupe de Zooey Deschanel en live à Paris la seule fois où il est venu. Ca m'a coûté un zéro en grammaire anglaise mais ça valait le coup. C'est propre et ce titre s'écoute surtout quand il fait beau. 

10. Vanessa Carlton - A thousand miles -
L'été, on voyage. Certains rencontrent l'amour et à la rentrée, des relations à distance commencent. 

11. You Blew It - Better to best -
La fin du printemps et l'arrivée de l'été coïncide avec un bilan de l'année écoulée. Cette chanson parle un peu de cela.



A écouter aussi : 

Rubber de Quentin Dupieux en 5 gifs

Le film est actuellement sur Arte +7 mais seulement jusqu'à la fin de la semaine.



   











A lire aussi :

jeudi 3 juillet 2014

Avis végé - Southern Fried Chicken Style Pieces (VegiDeli)


C'est booooooooooooon. Vraiment très bon. Le goût est, d'après mes vieux souvenirs, similaire à celui du poulet, la texture également. J'ai l'impression que c'est légèrement épicé. La cuisson se fait à la poêle, avec ou sans huile. Une portion convient pour une personne. Cela risque d'être un peu juste pour deux.


Disponible chez Un monde vegan à Paris ou en ligne

A lire aussi :
Avis végé | Végé-saucisse de Wheaty
[Infographie] Le végétarisme en France

mardi 1 juillet 2014

Avis végé | Végé-saucisse (Mini-weenies) de Wheaty


Le goût est bon et légèrement fumé. C'est très consistant. Pour un sandwich, deux suffiront amplement à vous rassasier. Vous pouvez soit les manger froides ou cuites à la poêle avec un peu d'huile d'olive. Attention de ne pas les accompagner avec des légumes trop lourds (comme des frites), car comme dit plus haut, c'est très consistant.

Ce produit fait par Wheaty est disponible en magasin chez Un monde vegan à Paris ou ici.

Pour comprendre pourquoi il existe des similis-carnés. Veuillez regarder ce reportage réalisé avec Théo Blazy.



A lire aussi :